Pendant plus de six décennies, Varda a réussi à concilier politique féministe et conscience sociale avec l’originalité de sa pratique en tant qu’artiste, produisant une œuvre cinématographique unique, marquante et toujours à la recherche de « la vérité d’une femme ».
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Varda, la vérité d’une femme
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L’hommage de genre-ecran à Agnès Varda
Contributrices et contributeurs de genre-ecran rendent hommage à la réalisatrice.
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Rencontrer Varda
Je suis arrivée assez tard au cinéma de Varda, et je dois dire que mon premier visionnage de Sans toit ni loi ne m’a laissé aucun souvenir
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Madame Varda : l’Amour et la Mémoire
Pendant des heures j’expliquais le génie révolutionnaire de Madame Varda, ses fulgurances à tous les échelons de la chaine cinématographique, ses engagements politiques toujours humanistes, l’avant-garde permanente d’une œuvre unique et originale
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"La Pointe courte":Agnès Varda « invente » la Nouvelle Vague
Plus étonnant que les images lumineuses en noir et blanc, Varda prétendait qu’elle n’avait vu pratiquement aucun autre film avant de le faire (après s’être creusé la tête, elle n’avait pu trouver que Citizen Kane).
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Agnès Varda : "capter le monde"
Agnès Varda était une énergie vitale. Infatigable, intarissable, toujours ouverte, jusqu’à sa 91ème année bien entamée, aux nouvelles expériences et aux nouvelles rencontres.
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Agnès Varda, seule femme cinéaste de la Nouvelle Vague
Agnès Varda ne fait pas partie stricto sensu de cette nouvelle génération de cinéastes qui émergent à la fin des années 50, puisqu’elle fait son premier long-métrage, La Pointe courte, en 1954, alors qu’elle a déjà derrière une expérience de photographe de plateau au TNP.