Une misogynie très cinématographique
Article publié dans le Monde diplomatique en mai 2000.
Avec l’aimable autorisation de l’auteur
Encensé par la critique cinématographique parisienne, Woody Allen symbolise une « politique des auteurs » qui privilégie la forme au détriment du scénario et fait de l’acteur principal l’alter ego du réalisateur. « Accords et désaccords », son dernier film, nouvelle « autobiographie déguisée », condense tous ces traits et confirme une vision profondément misogyne, dans laquelle la femme se borne à essayer de « comprendre » l’artiste (masculin) et ses indicibles souffrances, quand elle ne constitue pas un handicap à sa créativité.
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