« Rien ne pétille dans ce Colette académique où le Paris artistique et mondain de l’époque semble triste à mourir, et dans lequel les personnages apparaissent comme les fantômes de ceux (épicuriens et sensuels) qu’ils incarnent. » (bon exemple de la façon dont la critique cinéphile évacue ce dont parlent les films, ici une histoire d’émancipation féminine, et le fait que cet article qui descend un film féministe soit écrit par une femme est la cerise française sur le gâteau !)
Comme (…)
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